Table des matières
Certaines personnes pratiquent la méditation dans le silence alors que d’autres préfèrent être accompagnés d’une musique de méditation pour les guider. Qu’est-ce qui est le mieux et qu’est ce que vous pouvez écouter ? Découvrez les réponses dans cet article.
Pour commencer, est-ce nécessaire d’utiliser une musique de méditation pour pratiquer ?
L’avantage avec une musique de fond est que vous allez facilement pouvoir vous mettre dans l’ambiance et démarrer votre pratique. En cherchant sur YouTube, vous pourrez trouver une pléthore de musique à votre disposition. Il y en a une que j’apprécie particulièrement, la voici :
Cela permet également de ritualiser votre exercice avec l’habitude d’avoir la musique en toile de fond de votre pratique.
À l’inverse, l’inconvénient est que cela est loin de vos conditions de vie habituelles pour pouvoir utiliser la méditation dans le reste de votre journée. La pratique n’étant qu’un entrainement pour être plus en mesure d’affronter les événements de votre vie qui vous font réagir et qui sont désagréables à première vue. En pratiquant dans le silence, la transition va se faire plus facilement avec le reste !
À vous de voir en gardant en tête qu’il est toujours mieux de faire une pratique que rien du tout donc ne vous privez pas de musique si vous adorez cela. Ce que je vous conseille est d’alterner les deux selon votre énergie et votre état d’esprit du moment. L’idée est de ne surtout pas être rigide, mais de vous adapter en permanence à votre intuition et à ce qui vous convient le mieux. Donc lorsque vous avez envie d’écouter une musique de méditation, profitez-en pleinement !
Il existe une autre catégorie qui est celle des méditations guidées dans lesquelles on va vous dire de suivre certaines instructions durant la pratique. C’est excellent pour débuter lorsqu’on n’a pas de repères pour savoir exactement ce que l’on doit faire.
Bien que cela soit très bien au début, je ne vous le recommande pas sur le long terme comme vous ne développez pas votre pleine conscience en vous contentant simplement de suivre une voix. Cela ressemble plus à une technique de relaxation.
Maintenant, comme dans tout ce qu’on apprend, c’est bien d’être guidé au départ pour ne pas se perdre avant de petit à petit travailler par soi-même et construire ses propres repères.
Pour résumer :
Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise solution, tout dépend de ce que vous allez rechercher. En pratiquant dans le silence, vous serez bien plus près des conditions réelles de la vie quotidienne. À l’inverse en musique, cela sera plus facile et plus agréable bien que ce n’est pas cela qui vous attend dans les situations de vie qui mettront à nu vos limites quand vous ne vous sentirez pas bien.
Et vous, qu’est ce que vous préférez ? Laissez un commentaire juste en dessous pour partager cela avec tout le monde et donnez-nous la musique de méditation que vous écoutez pendant votre pratique si c’est le cas ?
Méditer grâce au piano, c’est efficace
La méditation et le piano, à première vue, semblent appartenir à des univers distincts. Pourtant, ces deux mondes se conjuguent de manière étonnante, offrant une porte d’entrée vers une sérénité insoupçonnée. Au cœur de cette alliance, réside une harmonie subtile entre concentration, émotion et introspection. Vous pourrez même apprendre à jouer avec la méthode Bernachon.
Le piano, cet instrument majestueux, requiert une concentration absolue. À chaque note jouée, le musicien se trouve plongé dans un univers où seuls le son et le geste importent. Cette focalisation permet d’évacuer les préoccupations extérieures, exactement comme dans une séance de méditation. Le pianiste, tout comme le méditant, recherche une connexion profonde avec son intérieur, une écoute attentive de son être.
D’autre part, la mélodie procure une évasion. Chaque composition interprétée devient une méditation en soi, une exploration des émotions, des souvenirs et des aspirations. Par exemple, l’exécution d’une sonate de Beethoven ou d’une nocturne de Chopin permet une introspection, une plongée dans les abysses de l’âme. L’auditeur est également invité à cette quête introspective, bercé par les nuances et les timbres.
Le piano transcende, élève l’esprit et offre un espace de méditation naturelle.